L’affaire du boxeur algérien Khelif se présentant en tant qu’athlète féminine fait des remous au sein de l’athlétisme mondial.
À partir du 1er septembre prochain, la Fédération Internationale d’Athlétisme (IAAF) imposera à toutes les athlètes féminines participant au Championnat du monde d’athlétisme à Tokyo (prévu en septembre) de passer un test biologique de sexe, et ce, une seule fois dans leur carrière.
Ce test a pour objectif de s’assurer que les athlètes sont biologiquement féminines et qu’elles correspondent à la catégorie des femmes, en détectant la présence du gène « SRY », responsable de la détermination du sexe biologique.
Il pourra être réalisé par un écouvillon buccal ou une prise de sang.
Cette mesure vise à protéger « l’intégrité du sport féminin », selon l’IAAF qui a déjà validé ce test en mars dernier et qui entrera en vigueur à l’approche du Mondial de Tokyo 25.