Le meurtre d’Erfoud, qui a coûté la vie à une jeune enseignante de français à l’OFPPT, a ravivé le débat sur la montée de la violence en milieu scolaire. Un phénomène inquiétant qui altère le climat de l’école, censé favoriser l’épanouissement et la réussite des élèves.
Pour y remédier, le ministère de l’Éducation nationale a annoncé l’installation de caméras de surveillance dans les classes afin de détecter immédiatement les comportements violents et d’intervenir rapidement. Une mesure louable, à condition qu’elle s’inscrive dans une approche socio-pédagogique globale, basée sur l’amélioration de la relation élève-enseignant, l’accompagnement psychologique au sein des écoles, ainsi que la formation d’ « ambassadeurs de la paix » parmi les élèves.
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