​Sarcastique : Le Real a commencé en roi… et a fini esclave au palais du Barça !

Dans un Clásico digne d’un scénario hollywoodien, le Real Madrid a entamé la rencontre tel un empereur sûr de son règne, marquant deux buts en un clin d’œil. Le public madrilène se frottait déjà les mains, prêt à sabrer le champagne – ou du moins à commander une tournée de tapas bien garnie.

Ancelotti, serein sur son banc, affichait ce sourire légendaire, mi-stratégique, mi-sieste italienne. En face, Xavi mâchouillait ses ongles, son regard disant tout haut : « Ce n’est que le début, les amis… »
 
Et en effet, le retour fut aussi brutal qu’un but de Messi en 2011. Le Barça, piqué dans son orgueil, a déclenché une remontada maison, comme une vieille recette catalane : un peu de pression, une pincée de génie, et beaucoup de buts !
 
Premier but, puis deuxième… le Camp Nou (ou plutôt le stade olympique, faute de maison terminée) s’est transformé en volcan. Les supporters barcelonais, qui songeaient à jeter leur maillot au feu, l’ont finalement remis fièrement. L’odeur de la victoire embaumait les gradins.
 
Le Real, quant à lui, s’est vu glisser doucement vers le cauchemar. Défense dispersée, gardien esseulé, et un Mbappé qui marquait certes, mais dont les buts résonnaient dans le vide.
 
Le troisième but catalan a fait lever Xavi comme s’il venait de gagner à la loterie. Le quatrième ? Une gifle footballistique, une claque artistique, un chef-d’œuvre d’humiliation signé Barça.
 
À ce moment précis, un supporter du Real a brandi une pancarte : « Remboursez les 20 premières minutes ! »
 
Ancelotti, muet comme une statue romaine, semblait chercher dans sa mémoire la formule magique de sa nonna : « Si tu perds contre le Barça, prends des vacances prolongées. »
 
Le match s’est terminé sur un score de 4-3 pour le Barça, mais l’écart réel était psychologique, émotionnel, et profondément symbolique. Le Real avait brillé au départ, mais comme Icare, il s’était approché trop près du soleil catalan. Résultat : brûlé, désorienté, et ramené sur terre.
 
Quant aux supporters madrilènes, ils vivent désormais dans le silence, ponctué seulement par les cris de joie de leurs voisins catalans. Et ce silence, croyez-moi, est plus douloureux que la défaite elle-même.
 
 
 

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