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La Direction générale de la migration en Turquie a annoncé, jeudi, que le nombre de Syriens ayant volontairement quitté la Turquie pour regagner leur pays depuis la chute du régime de Bachar Al-Assad en décembre dernier s’est élevé à 411.649 personnes.
Le rythme des retours volontaires s’est accéléré, a précisé la Direction, indiquant que ces opérations sont menées en pleine coordination avec les autorités concernées.
Le nombre total de Syriens ayant regagné volontairement leur pays depuis 2016 a atteint 1.151.652 personnes, tandis que le nombre de bénéficiaires de la protection temporaire en Turquie est actuellement estimé à 2.543.711 personnes, a ajouté la même source.
Et de relever que le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (UNHCR) suit également les opérations de retour volontaire des citoyens syriens.
La Turquie a ouvert, depuis le déclenchement de la guerre civile en Syrie en 2011, ses frontières à de larges vagues de réfugiés syriens fuyant le conflit armé et les conditions humanitaires difficiles, adoptant, durant les premières années, une politique de « porte ouverte » qui a permis à des millions de Syriens d’entrer sur son territoire.
Avec l’augmentation du nombre d’arrivants, la Turquie a mis en place un système de « protection temporaire » accordant aux Syriens le droit de séjour légal et l’accès aux services publics, y compris l’enseignement gratuit pour les enfants et les soins dans les hôpitaux publics.
Elle a également lancé des programmes visant à intégrer les réfugiés sur le marché du travail, notamment dans les secteurs nécessitant une main-d’œuvre supplémentaire.
Selon les chiffres officiels, plus de quatre millions et demi de Syriens se sont installés dans diverses provinces turques, notamment à Istanbul, Gaziantep, Şanlıurfa et Hatay.
Le nombre total de Syriens ayant regagné volontairement leur pays depuis 2016 a atteint 1.151.652 personnes, tandis que le nombre de bénéficiaires de la protection temporaire en Turquie est actuellement estimé à 2.543.711 personnes, a ajouté la même source.
Et de relever que le Haut-Commissariat des Nations unies pour les réfugiés (UNHCR) suit également les opérations de retour volontaire des citoyens syriens.
La Turquie a ouvert, depuis le déclenchement de la guerre civile en Syrie en 2011, ses frontières à de larges vagues de réfugiés syriens fuyant le conflit armé et les conditions humanitaires difficiles, adoptant, durant les premières années, une politique de « porte ouverte » qui a permis à des millions de Syriens d’entrer sur son territoire.
Avec l’augmentation du nombre d’arrivants, la Turquie a mis en place un système de « protection temporaire » accordant aux Syriens le droit de séjour légal et l’accès aux services publics, y compris l’enseignement gratuit pour les enfants et les soins dans les hôpitaux publics.
Elle a également lancé des programmes visant à intégrer les réfugiés sur le marché du travail, notamment dans les secteurs nécessitant une main-d’œuvre supplémentaire.
Selon les chiffres officiels, plus de quatre millions et demi de Syriens se sont installés dans diverses provinces turques, notamment à Istanbul, Gaziantep, Şanlıurfa et Hatay.
