Dans nos cuisines, nos snacks ou nos cantines scolaires, le thon en conserve, qui occupe une place de choix, se retrouve au cœur d’un débat sensible. La récente interpellation du gouvernement par un conseiller parlementaire, réclamant des explications sur la possible présence de métaux lourds dans ces conserves, a relancé la question de la veille sanitaire des produits alimentaires. À une époque où les consommateurs scrutent de plus en plus ce qu’ils mangent, les ONG européennes multiplient les analyses du thon et publient leurs résultats, tandis qu’au Royaume, les données publiques récentes se font encore attendre. Derrière cette question technique des métaux lourds se joue un enjeu plus vaste : la confiance, la traçabilité et la crédibilité d’une filière stratégique.
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