L’annonce des prochaines manœuvres militaires franco-marocaines, prévues en septembre 2025 à Er-Rachidia, a suscité une réaction outrée d’Alger, qui y voit une « provocation ». Pourtant, cet exercice, baptisé « Chergui 2025 », s’inscrit dans le cadre d’une coopération militaire historique entre Rabat et Paris, témoignant du rôle stratégique du Maroc en tant qu’allié clé dans la sécurité régionale.
Le secrétaire général du ministère algérien des Affaires étrangères, Lounès Magramane, a convoqué l’ambassadeur de France en Algérie, Stéphane Romatet, pour exprimer son mécontentement et exiger des clarifications.
Dans un contexte de tensions diplomatiques entre Paris et Alger, attisées par la reconnaissance de la souveraineté marocaine sur le Sahara par Emmanuel Macron, Alger tente d’instrumentaliser ces manœuvres à des fins politiques.
Cette posture reflète une fois de plus l’irritation du régime algérien face aux succès diplomatiques du Maroc et à son partenariat stratégique avec des puissances internationales.
Alors que Rabat renforce sa coopération militaire et consolide sa position régionale, Alger persiste dans une logique d’opposition systématique, illustrant son malaise face à l’influence grandissante du Maroc sur la scène internationale.
Dans un contexte de tensions diplomatiques entre Paris et Alger, attisées par la reconnaissance de la souveraineté marocaine sur le Sahara par Emmanuel Macron, Alger tente d’instrumentaliser ces manœuvres à des fins politiques.
Cette posture reflète une fois de plus l’irritation du régime algérien face aux succès diplomatiques du Maroc et à son partenariat stratégique avec des puissances internationales.
Alors que Rabat renforce sa coopération militaire et consolide sa position régionale, Alger persiste dans une logique d’opposition systématique, illustrant son malaise face à l’influence grandissante du Maroc sur la scène internationale.