L’Algérie poursuit ses expulsions massives de migrants en situation irrégulière vers le Niger, une pratique vivement dénoncée par plusieurs organisations internationales de défense des droits de l’homme.
Depuis des années, les témoignages s’accumulent, les rapports se succèdent, et tous pointent du doigt un même constat : un traitement jugé inhumain infligé aux migrants subsahariens arrêtés sur le territoire algérien. Ces derniers sont convoyés vers le sud du pays, puis abandonnés aux abords de la frontière nigérienne, au cœur du désert, sans protection, ni assistance humanitaire.
Dans ces zones arides et hostiles, les scènes se répètent inlassablement. Des centaines de personnes, dont des femmes enceintes, des enfants et des mineurs non accompagnés, sont contraintes de traverser à pied des étendues désertiques sans accès à l’eau, à la nourriture, ni aux soins. Regroupés ensuite dans des centres de transit ou de détention de fortune, ils sont expulsés sans procédure légale, en violation flagrante des conventions internationales sur les droits des migrants et des réfugiés.
Human Rights Watch, Médecins Sans Frontières ou encore l’Observatoire euro-méditerranéen des droits de l’homme ont tiré la sonnette d’alarme à plusieurs reprises. Ces ONG accusent Alger de pratiquer une politique d’expulsions collectives systématiques, exposant les migrants à de graves dangers : déshydratation, maltraitances, violence, et parfois même à la mort.
Des survivants racontent avoir été arrêtés sans avertissement, brutalisés, puis relâchés dans le désert sans eau ni vivres. Certains ont dû marcher pendant des heures, voire des jours, pour atteindre un lieu sûr au Niger. Des récits que les défenseurs des droits humains décrivent comme de véritables « voyages en enfer ».
De leur côté, les autorités algériennes gardent le silence ou invoquent des raisons de sécurité pour justifier leur politique migratoire, sans jamais préciser le nombre de personnes concernées ni les conditions de leur expulsion. Pendant ce temps, les autorités nigériennes observent une augmentation constante du nombre de personnes déportées, ce qui exerce une pression croissante sur les ressources déjà limitées des régions frontalières, notamment dans le nord du Niger.
Cette politique migratoire algérienne, jugée brutale, met en lumière une gestion sécuritaire de la migration africaine, au détriment de la dignité humaine et des principes de solidarité régionale. Elle vient aggraver une situation humanitaire déjà fragile dans le Sahel, région confrontée à de multiples crises sécuritaires, climatiques et économiques.
Face à cette réalité, les organisations de la société civile et les défenseurs des droits humains appellent la communauté internationale à agir urgemment. Ils exhortent l’Algérie à cesser ces expulsions arbitraires et à garantir le respect des droits fondamentaux des migrants. Ils plaident également pour un soutien accru au Niger, confronté à un afflux croissant de personnes vulnérables, dans un contexte d’abandon quasi-total par les partenaires internationaux.
Dans ces zones arides et hostiles, les scènes se répètent inlassablement. Des centaines de personnes, dont des femmes enceintes, des enfants et des mineurs non accompagnés, sont contraintes de traverser à pied des étendues désertiques sans accès à l’eau, à la nourriture, ni aux soins. Regroupés ensuite dans des centres de transit ou de détention de fortune, ils sont expulsés sans procédure légale, en violation flagrante des conventions internationales sur les droits des migrants et des réfugiés.
Human Rights Watch, Médecins Sans Frontières ou encore l’Observatoire euro-méditerranéen des droits de l’homme ont tiré la sonnette d’alarme à plusieurs reprises. Ces ONG accusent Alger de pratiquer une politique d’expulsions collectives systématiques, exposant les migrants à de graves dangers : déshydratation, maltraitances, violence, et parfois même à la mort.
Des survivants racontent avoir été arrêtés sans avertissement, brutalisés, puis relâchés dans le désert sans eau ni vivres. Certains ont dû marcher pendant des heures, voire des jours, pour atteindre un lieu sûr au Niger. Des récits que les défenseurs des droits humains décrivent comme de véritables « voyages en enfer ».
De leur côté, les autorités algériennes gardent le silence ou invoquent des raisons de sécurité pour justifier leur politique migratoire, sans jamais préciser le nombre de personnes concernées ni les conditions de leur expulsion. Pendant ce temps, les autorités nigériennes observent une augmentation constante du nombre de personnes déportées, ce qui exerce une pression croissante sur les ressources déjà limitées des régions frontalières, notamment dans le nord du Niger.
Cette politique migratoire algérienne, jugée brutale, met en lumière une gestion sécuritaire de la migration africaine, au détriment de la dignité humaine et des principes de solidarité régionale. Elle vient aggraver une situation humanitaire déjà fragile dans le Sahel, région confrontée à de multiples crises sécuritaires, climatiques et économiques.
Face à cette réalité, les organisations de la société civile et les défenseurs des droits humains appellent la communauté internationale à agir urgemment. Ils exhortent l’Algérie à cesser ces expulsions arbitraires et à garantir le respect des droits fondamentaux des migrants. Ils plaident également pour un soutien accru au Niger, confronté à un afflux croissant de personnes vulnérables, dans un contexte d’abandon quasi-total par les partenaires internationaux.