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Dans un monde en pleine révolution numérique, comprendre la blockchain devient essentiel. Ce mardi à Casablanca, The Hashgraph Association mise sur les médias pour en décrypter les enjeux et accélérer l’adoption en Afrique.
Dans un contexte marqué par une accélération de la transformation numérique en Afrique, The Hashgraph Association poursuit son ancrage stratégique au Maroc en investissant dans la formation des acteurs clés de l’écosystème. Quelques jours après un GITEX Africa 2025 riche en innovations, l’organisation a convié, mardi 20 mai à Casablanca, des professionnels des médias marocains à une journée de formation immersive dédiée à la blockchain et aux technologies de registres distribués (DLT).
Objectif : vulgariser ces technologies de rupture, souvent mal comprises, et en révéler les enjeux concrets dans des secteurs aussi divers que la finance, la santé, la logistique, la gouvernance numérique ou encore le développement durable.
Démystifier la DLT pour mieux informer
La session s’est articulée en deux temps. La matinée a été consacrée à une présentation structurée des fondamentaux de la blockchain et des DLT, avec un accent particulier sur la technologie Hashgraph, connue pour sa rapidité, sa sécurité et sa faible empreinte énergétique. L’après-midi, plus interactive, a laissé place à des ateliers pratiques permettant aux journalistes de manipuler des cas d’usage concrets et de réfléchir à la manière d’intégrer ces sujets complexes dans leur traitement éditorial.
Pour Kamal Youssefi, président de The Hashgraph Association, « ces formations permettent aux médias de mieux appréhender les mutations technologiques et d’en restituer les enjeux de manière accessible. Comprendre la blockchain, c’est aussi mieux raconter le monde d’aujourd’hui ».
Un pari sur l’avenir numérique du Maroc
À travers cette initiative, The Hashgraph Association réaffirme son ambition de positionner le Maroc comme un hub stratégique pour le déploiement de son écosystème en Afrique. En ciblant les professionnels de l’information, l’organisation entend favoriser une meilleure compréhension des enjeux technologiques auprès du grand public, mais aussi encourager une couverture médiatique plus rigoureuse, documentée et prospective.
Ce type de formation s’inscrit également dans une dynamique plus large de montée en compétences des talents locaux. Car dans un monde en constante mutation technologique, accompagner les journalistes, c’est aussi préparer les citoyens et les décideurs à faire face aux transformations à venir.
