Parmi les prétendants figure le numéro un mondial du secteur, le sud-coréen Hyundai Heavy Industries, talonné par le groupe français Naval Group, spécialisé dans l’industrie de défense.
La condition exigée par l’Agence, à savoir justifier d’une expérience d’au moins dix ans dans la gestion d’une infrastructure comparable, écarte de fait les entreprises marocaines. Ces dernières se sont organisées en consortiums. Deux d’entre-elles se détachent : Somagec, en alliance avec le constructeur turc Kuzey Star Shipyard, et New Shipyard World, qui réunit le géant espagnol Marina Meridional et le marocain Radi Holding.