Le 30 juillet 2025, le Royaume du Maroc célébrera le vingt-sixième anniversaire de l’accession de Sa Majesté le Roi Mohammed VI au Trône, une étape marquante dans l’histoire contemporaine de notre Nation. Bien au-delà de sa signification symbolique, la Fête du Trône s’affirme comme une véritable manifestation de l’unité nationale, de la stabilité des institutions et d’un élan collectif résolument orienté vers la prospérité, la compétitivité et la durabilité. Sous la conduite éclairée de Sa Majesté le Roi, le Maroc s’est imposé comme un modèle de croissance inclusive, entamant des réformes structurelles profondes qui transforment durablement le pays et le préparent avec une confiance assurée aux défis de demain.
A. Bilan d’un Règne Transformateur (1999–2025)
Sous la direction perspicace et visionnaire de Sa Majesté le Roi Mohammed VI, le Maroc a engagé une métamorphose profonde et remarquable, inscrivant le Royaume sur la voie d’une croissance inclusive et d’une compétitivité pérenne, tant sur les plans économique que social. En 2025, fort de son riche héritage civilisationnel et du cap stratégique tracé depuis plus de deux décennies, le Maroc s’affirme désormais comme un acteur majeur et influent sur la scène régionale et internationale.
1. Croissance économique soutenue et diversification
Depuis l’accession de Sa Majesté le Roi Mohammed VI au trône, l’économie marocaine a connu une expansion exceptionnelle. Le produit intérieur brut (PIB) a fait un bond spectaculaire, passant d’environ 320 milliards de dirhams (soit 46 milliards USD) en 1999 à près de 1 650 milliards de dirhams (environ 150 milliards USD) en 2024. Cette progression a été accompagnée d’un taux de croissance annuel moyen réel avoisinant les 4,5 % sur la période 2000-2023, avec des pics atteignant plus de 5 % certaines années. L’économie marocaine a également pris un virage décisif vers la diversification : la part du secteur agricole dans le PIB a diminué, passant de 19 % en 1999 à environ 12 % en 2024, tandis que les secteurs de l’industrie manufacturière et des services ont pris une importance croissante, représentant respectivement près de 25 % et plus de 55 % du PIB. De plus, une maîtrise effective de l’inflation, stabilisée autour de 2 % en moyenne annuelle, a permis de protéger le pouvoir d’achat des citoyens. Sur le plan international, le Maroc a renforcé son intégration commerciale en signant plus de 50 accords de libre-échange avec environ 70 pays, incluant l’Union européenne, les États-Unis, la Turquie, ainsi que de nombreux pays africains.
2. Révolution des infrastructures
Le Royaume a vécu une véritable révolution dans le domaine de ses infrastructures depuis 1999. Le réseau autoroutier marocain, qui comptait alors seulement 400 kilomètres, a été multiplié par cinq, atteignant plus de 1 830 kilomètres en 2024, reliant des villes stratégiques telles que Casablanca, Rabat, Fès, Oujda, Tanger, Meknès, Marrakech et Agadir. L’introduction du train à grande vitesse, avec la ligne Al Boraq mise en service en 2018, a révolutionné le transport entre Tanger et Casablanca, réduisant le temps de trajet à seulement 2h10, et transportant plus de 5 millions de passagers chaque année. Le port Tanger Med, inauguré en 2007, est devenu un hub portuaire majeur d’Afrique, avec une capacité de manutention dépassant 9 millions d’EVP (équivalent vingt pieds), représentant près de 17 % des exportations marocaines. L’électrification du pays, quant à elle, est exemplaire : plus de 98 % des zones urbaines et rurales bénéficient désormais d’un accès à l’électricité. Enfin, le parc aéroportuaire s’est considérablement étendu, avec 17 aéroports internationaux, dont ceux de Casablanca, Marrakech, Fès, Agadir et Dakhla, accueillant chaque année plus de 25 millions de passagers.
3. Justice sociale et inclusion
La justice sociale est une priorité qui a permis au Maroc de réduire de manière significative la pauvreté, qui est passée de près de 15 % en 1999 à moins de 2,8 % en 2024, selon les chiffres du Haut-Commissariat au Plan. L’Initiative Nationale pour le Développement Humain (INDH) a joué un rôle fondamental dans ce progrès, avec plus de 45 000 projets locaux réalisés entre 2005 et 2023, touchant près de 5 millions de personnes. Le système de protection sociale s’est également élargi, avec des programmes tels que la RAMED (Assurance Maladie pour les démunis), la CNSS (sécurité sociale) et l’AMO (Assurance Maladie Obligatoire), qui couvrent désormais environ 22 millions de bénéficiaires, soit près de 70 % de la population. Des efforts spécifiques ont été déployés pour lutter contre l’exclusion sociale, à travers des programmes dédiés à l’insertion des femmes, à la prise en charge des personnes handicapées et à la promotion de l’emploi rural. Dans cette dynamique, la réforme du Code de la famille (Moudawana), adoptée en 2004, a constitué une avancée majeure en matière de droits des femmes, renforçant leur statut juridique, établissant l’égalité des responsabilités parentales et protégeant davantage les droits des enfants, contribuant ainsi à une société plus équitable et inclusive.
4. Santé, éducation et transition énergétique
Le secteur de la santé a bénéficié d’une expansion significative : le nombre d’hôpitaux publics a triplé, dépassant les 150 établissements en 2024, avec un ratio de 7,5 médecins pour 10 000 habitants. Le secteur de l’éducation a également progressé, avec un taux de scolarisation primaire passant de 80 % en 1999 à plus de 98 % en 2024, et un taux d’alphabétisation des jeunes adultes (15-24 ans) atteignant 97 %. Le budget de l’éducation représente aujourd’hui environ 6,5 % du PIB, soit près de 100 milliards de dirhams (9 milliards USD) par an. Parallèlement, le Maroc est devenu un leader africain en matière de transition énergétique : la capacité installée en énergies renouvelables a été multipliée par plus de 25, passant de moins de 200 MW en 2000 à plus de 5 500 MW en 2024. Cette capacité comprend des parcs solaires comme celui de Ouarzazate Noor, des parcs éoliens tels que celui de Tarfaya, et des centrales hydroélectriques, représentant désormais près de 45 % du mix électrique national. L’objectif du Royaume est d’atteindre 52 % d’électricité produite à partir de sources renouvelables d’ici 2030.
5. Eau : stratégie nationale et résilience hydrique
Le Maroc a mis en place un Plan National de l’Eau 2020-2050, avec un investissement total prévu supérieur à 400 milliards de dirhams (38 milliards USD). Le pays dispose désormais de plus de 150 barrages opérationnels, offrant une capacité de stockage d’environ 18 milliards de mètres cubes. Afin d’optimiser la gestion des ressources en eau, le Royaume a engagé un programme de connexion entre les barrages, visant à mutualiser les capacités de stockage, mieux répartir l’eau entre les régions et renforcer la résilience face à la variabilité climatique. La dessalinisation de l’eau de mer progresse avec plusieurs stations en projet, notamment à Agadir et Laâyoune, qui permettront d’atteindre une capacité cumulée de 500 millions de mètres cubes par an d’ici 2030. L’accès à l’eau potable est désormais quasi généralisé, touchant plus de 98 % de la population urbaine et plus de 85 % des populations rurales. Dans le secteur agricole, qui consomme près de 60 % des ressources en eau, plus d’un million d’hectares sont irrigués grâce à des techniques modernes, dont l’irrigation goutte-à-goutte, permettant une utilisation optimale de l’eau.
6. Agriculture : modernisation et souveraineté alimentaire
Grâce aux stratégies successives du Plan Maroc Vert (2008-2020), puis de la Génération Green (2020-2030), le secteur agricole marocain a connu une modernisation significative, avec des investissements cumulés dépassant les 15 milliards USD. L’agriculture emploie aujourd’hui environ 40 % de la population active rurale et contribue à hauteur de 12 à 14 % du PIB. Le développement de cultures à haute valeur ajoutée, telles que les fruits rouges, les agrumes ou les légumes destinés à l’exportation, a permis d’augmenter les recettes agricoles à plus de 3 milliards USD par an. L’adoption de l’irrigation goutte-à-goutte couvre désormais plus de 800 000 hectares, augmentant ainsi la productivité de 30 à 40 %, tout en permettant des économies substantielles en ressources hydriques. Par ailleurs, la structuration des filières à travers des coopératives et la digitalisation facilitent l’accès au marché et renforcent la résilience face aux aléas climatiques.
7. Tourisme : reprise post-COVID et consolidation
Le secteur touristique marocain a fait preuve d’une remarquable résilience après la crise sanitaire. En effet, après une chute du nombre de visiteurs à 4,5 millions en 2020, ce chiffre a rapidement rebondi pour atteindre plus de 14 millions en 2023, approchant ainsi les niveaux record d’avant la pandémie. Le tourisme représente aujourd’hui environ 7,2 % du PIB et génère plus de 550 000 emplois directs. L’amélioration des infrastructures, en particulier l’extension des aéroports de Marrakech-Menara et de Casablanca, ainsi que l’ouverture de nouvelles lignes aériennes, ont considérablement renforcé la connectivité internationale. Le tourisme intérieur a également été encouragé grâce à des campagnes ciblées qui valorisent des destinations émergentes telles que Dakhla, le Rif ou le Sahara. Par ailleurs, le développement de l’écotourisme et du tourisme culturel vise à diversifier l’offre touristique et à atténuer la saisonnalité des visites.
8. Industrie : montée en gamme
Le secteur industriel marocain représente aujourd’hui environ 25 % du PIB et contribue à plus de 25 % des exportations nationales. Des secteurs clés tels que l’automobile, avec plus de 400 000 véhicules assemblés chaque année, et l’aéronautique, employant plus de 40 000 personnes, témoignent de cette montée en gamme. Plus de 15 000 entreprises industrielles sont implantées dans plus de 100 zones industrielles à travers le Royaume. Le Maroc se prépare également pour l’avenir avec des investissements majeurs dans la fabrication de batteries électriques, dont un projet évalué à 4 milliards USD sur cinq ans. Par ailleurs, le développement des industries vertes, telles que la chimie verte, le recyclage et la production d’équipements pour les énergies renouvelables, s’inscrit pleinement dans la stratégie nationale de transition écologique.
9. Jeunesse créative et inclusion économique
L’insertion professionnelle des jeunes demeure un enjeu majeur au Maroc, avec un taux de chômage des 15-24 ans oscillant autour de 36 à 38 %. Pour relever ce défi, le programme Intelaka, lancé en 2020, a soutenu plus de 70 000 jeunes entrepreneurs avec un budget de 300 millions USD. Le développement de pôles innovants, tels que Rabat Gaming City, doté d’un budget d’environ 26 millions USD, vise à renforcer l’économie numérique et les industries créatives. Le gouvernement investit également massivement dans la formation professionnelle, avec plus de 200 centres spécialisés proposant des cursus en codage, intelligence artificielle et data science. Des mesures spécifiques ont été prises pour encourager l’entrepreneuriat féminin, ce qui a permis une augmentation de 35 % du nombre d’entreprises créées par des femmes depuis 2015.
10. Culture, patrimoine et soft power
Le Maroc est riche d’un patrimoine historique et culturel reconnu mondialement, avec neuf sites inscrits au patrimoine mondial de l’UNESCO, parmi lesquels les Médinas de Fès et Marrakech, ainsi que le site archéologique de Volubilis. Chaque année, plus de 250 festivals culturels et artistiques attirent plus de 1,5 million de visiteurs, contribuant au rayonnement culturel du pays. La production cinématographique a également progressé, notamment grâce à Ouarzazate, surnommée la « Hollywood d’Afrique », générant un chiffre d’affaires annuel estimé à 300 millions USD. Sur le plan diplomatique, le Maroc a renforcé ses actions en Afrique en participant activement au Sommet de l’Union africaine et en développant des partenariats économiques avec plus de 30 pays. Le soft power marocain repose également sur sa diaspora, qui organise régulièrement des événements culturels et économiques dans plus de 50 pays.
11. Sport : moteur d’unité nationale
Le Maroc a investi environ 2 milliards USD dans ses infrastructures sportives depuis 2010, avec des stades modernes à Casablanca, Rabat, Fès, Tanger, Marrakech et Agadir. Ces investissements ont porté leurs fruits avec la qualification de l’équipe nationale masculine en demi-finale de la Coupe du Monde 2022, ainsi que la participation de l’équipe féminine en 2023, renforçant la visibilité internationale du sport marocain. Par ailleurs, le Royaume a obtenu l’organisation conjointe de la Coupe du Monde 2030 avec l’Espagne et le Portugal. Les programmes « Sport pour Tous » bénéficient chaque année à plus de 2 millions de jeunes, notamment dans les zones rurales et quartiers prioritaires. Le sport constitue également un levier important de diplomatie culturelle et économique, grâce à des partenariats avec des fédérations internationales.
12. Environnement, climat et biodiversité
Le Maroc s’est engagé dans une politique ambitieuse de lutte contre le changement climatique, visant la neutralité carbone à l’horizon 2050, avec une réduction des émissions de gaz à effet de serre de 42 % d’ici 2030 par rapport à 2010. Le pays a planté plus de 350 millions d’arbres dans le cadre d’un programme national de reforestation depuis 2000. Plus de 10 % du territoire national est protégé sous forme de parcs naturels. Le Maroc applique des normes strictes en matière de gestion des déchets, avec un objectif de réduction de 50 % des déchets non recyclés d’ici 2030. Sur la scène internationale, le Royaume a accueilli la COP22 en 2016 et continue de renforcer son engagement dans les négociations climatiques mondiales.
13. Sécurité intérieure, cybersécurité et stabilité
La Direction Générale de la Sûreté Nationale (DGSN) compte plus de 55 000 agents et affiche un taux de résolution des crimes supérieur à 70 %. La Direction Générale de la Surveillance du Territoire (DGST) joue un rôle clé dans la lutte contre le terrorisme, ayant neutralisé des dizaines de réseaux depuis 2005. Le Maroc investit plus de 50 millions USD chaque année dans la cybersécurité, disposant de centres spécialisés et nouant des partenariats internationaux. Le Royaume participe régulièrement à des exercices militaires conjoints avec l’OTAN, tels que « African Lion », renforçant l’interopérabilité et la coopération régionale. Selon le Global Peace Index, le Maroc figure parmi les pays africains les plus stables et sécurisés.
14. Diplomatie marocaine : affirmation stratégique
Le Maroc a développé une diplomatie active et diversifiée, renforçant ses relations bilatérales avec plus de 120 pays et étant présent dans de nombreuses organisations internationales. En 2023, les échanges commerciaux avec l’Afrique subsaharienne ont dépassé les 10 milliards USD, enregistrant une croissance annuelle de 15 % depuis 2015. Le projet du gazoduc Nigeria–Maroc vise à fournir à moyen terme plus de 3 milliards de mètres cubes de gaz naturel par an. Par ailleurs, le Maroc joue un rôle clé dans la lutte contre le terrorisme au Sahel et participe activement aux missions de paix africaines. Sa politique migratoire innovante, saluée par l’Union européenne, comprend un système d’accueil et d’intégration des migrants exemplaire.
15. Sahara marocain : développement intégré
Depuis 2000, plus de 90 milliards de dirhams (8 milliards USD) ont été investis dans les infrastructures, les services et les projets économiques des provinces du Sud. Le port de Dakhla Atlantique, d’une valeur d’environ 1,2 milliard USD, est appelé à devenir une plateforme majeure pour la pêche, l’agroalimentaire et la logistique. Plus de 1 000 kilomètres de routes modernes (Voie Express Tiznit – Dakhla) relient les provinces du Sud au reste du pays. L’accès à l’eau potable y dépasse 98 %, l’électricité est généralisée, et plusieurs projets touristiques ambitieux, notamment dans l’hôtellerie et l’écotourisme, sont en cours de développement. Le tissu économique local s’est renforcé, créant des milliers d’emplois directs et indirects, en particulier pour les jeunes et les femmes.
16. Marocains Résidant à l’Étranger : un pont stratégique
La diaspora marocaine compte environ 5,5 millions de personnes, principalement réparties en Europe (France, Espagne, Belgique), en Amérique du Nord et au Moyen-Orient. Les transferts financiers annuels de cette diaspora vers le Maroc dépassent 8 milliards USD, ce qui représente environ 7 % du PIB national. De nombreux programmes d’appui à l’investissement facilitent le retour des compétences et le financement de projets locaux. Des forums annuels et des plateformes numériques contribuent à mobiliser la diaspora sur les plans économique et culturel. Sa Majesté le Roi Mohammed VI a renforcé les institutions dédiées à cette communauté, leur conférant un rôle essentiel dans le développement national.
B. Perspectives 2025–2030 : défis structurants et ambitions durables
À l’horizon 2030, le Maroc se prépare à affronter des défis majeurs tout en consolidant les progrès réalisés ces dernières décennies. L’un des enjeux clés réside dans une réforme profonde et globale du système éducatif et de la formation professionnelle. Cette réforme vise à mieux aligner les compétences des jeunes Marocains avec les exigences actuelles et futures du marché du travail, favorisant ainsi une insertion professionnelle plus efficace et une réduction durable du chômage. En effet, le taux de chômage des jeunes âgés de 15 à 24 ans reste préoccupant, s’établissant autour de 38 %, ce qui nécessite des stratégies ciblées pour stimuler l’emploi durable, notamment à travers le soutien à l’entrepreneuriat, l’innovation et les filières porteuses.
Dans un contexte mondial marqué par le changement climatique, la gestion rationnelle et durable des ressources en eau devient une priorité absolue. Le Maroc, pays semi-aride confronté à une raréfaction croissante de l’eau, mettra en œuvre des politiques publiques ambitieuses pour assurer une souveraineté hydrique. Cela inclut le développement des infrastructures de dessalement, la promotion de techniques d’irrigation économes et la protection des bassins hydriques. Parallèlement, la souveraineté alimentaire sera renforcée par une modernisation continue du secteur agricole, avec un accent sur la diversification des cultures, l’amélioration des rendements et l’adoption de pratiques agroécologiques.
Sur le plan industriel, la transition vers une économie verte et numérique est un moteur central de la compétitivité marocaine. Le renforcement des filières industrielles durables, notamment dans les secteurs des énergies renouvelables, de la fabrication de composants électroniques, et des technologies de l’information, contribuera à une croissance économique plus inclusive et respectueuse de l’environnement. Ces secteurs sont également essentiels pour répondre aux demandes internationales et à la transition énergétique mondiale.
Enfin, la consolidation irréversible de la souveraineté nationale sur l’ensemble du territoire marocain reste une ligne directrice fondamentale. Garantir la stabilité politique, la cohésion sociale et un développement équitable dans toutes les régions, y compris les provinces du Sud, est un impératif stratégique. Cet engagement fort en faveur de l’intégrité territoriale soutient le climat de confiance nécessaire pour poursuivre les investissements et les projets structurants qui bénéficieront à l’ensemble des citoyens.
C. Conclusion : La Fête du Trône 2025, reflet d’un Maroc visionnaire, ancré et ambitieux
La célébration de la Fête du Trône 2025 dépasse la simple commémoration d’un anniversaire royal ; elle s’affirme comme un manifeste politique et stratégique révélant la vision d’un Maroc souverain, profondément enraciné dans son histoire tout en étant résolument tourné vers les défis du XXIᵉ siècle. Les discours porteurs de sens de Sa Majesté le Roi Mohammed VI incarnent cette ambition, soulignant la volonté de poursuivre les réformes et les projets structurants qui ont transformé le Royaume ces dernières années.
À travers une diplomatie proactive, une économie en mutation rapide et une société en quête d’inclusion, Sa Majesté le Roi Mohammed VI continue de guider le Maroc sur une trajectoire ascendante. Cette trajectoire conjugue stabilité politique, développement durable, et rayonnement régional, faisant du Royaume un acteur incontournable en Afrique et sur la scène internationale.
Le Trône, loin d’être une simple institution symbolique, demeure la force motrice essentielle du progrès national. Il incarne l’unité du pays, la modernité dans les transformations sociétales, et l’espérance d’un avenir ambitieux. La Fête du Trône 2025 est ainsi le reflet d’un Maroc visionnaire, capable de conjuguer tradition et innovation, pour construire un avenir prospère et durable pour tous ses citoyens.