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En proie à des difficultés accrues, Stellantis se prépare à investir 10 milliards de dollars aux États-Unis, dans le but de relancer ses marques stratégiques sur un marché plus porteur.
Cette décision s’effectue dans un climat incertain pour l’automobile à l’international, selon des informations relayées par Automotive News Europe.
Ce vaste plan d’investissement concerne tout particulièrement des marques américaines iconiques du groupe, comme Jeep et Ram, qui se heurtent à un recul de compétitivité sur le territoire nord-américain.
Une annonce officielle d’un investissement de 5 milliards de dollars devrait intervenir sous peu. Celui-ci viendrait en complément d’une enveloppe du même ordre déjà engagée au cours de cette année.
Selon plusieurs sources internes, qui ont tenu à garder secrète leur identité, ces fonds seraient investis sur une période pluriannuelle. Ils seraient alloués, de prime abord, à des sites de production stratégiques, comme ceux de l’Illinois et du Michigan.
Cela aurait pour conséquences des réouvertures d’usines, des embauches ciblées et même le lancement de nouveaux modèles.
Parmi les scénarios envisagés, la création d’un nouveau muscle car, sous le label Dodge, qui constitue une référence assumée aux racines américaines de la marque. Dans une perspective de plus long terme, une relance de Chrysler, longtemps mise de côté, serait également à l’étude.
Bien que rien ne soit encore acté à ce jour, cet investissement illustre l’intention du nouveau PDG, Antonio Filosa, de réaligner la stratégie du groupe.
Ce dernier, nommé à la tête de Stellantis en mai de cette année, se distingue clairement du cap défini par Carlos Tavares avant lui, qui avait concentré les investissements dans des zones à faible coût comme le Mexique, tout en mettant l’accent sur le marché européen, malgré sa faible rentabilité.
Cette décision s’effectue dans un climat incertain pour l’automobile à l’international, selon des informations relayées par Automotive News Europe.
Ce vaste plan d’investissement concerne tout particulièrement des marques américaines iconiques du groupe, comme Jeep et Ram, qui se heurtent à un recul de compétitivité sur le territoire nord-américain.
Une annonce officielle d’un investissement de 5 milliards de dollars devrait intervenir sous peu. Celui-ci viendrait en complément d’une enveloppe du même ordre déjà engagée au cours de cette année.
Selon plusieurs sources internes, qui ont tenu à garder secrète leur identité, ces fonds seraient investis sur une période pluriannuelle. Ils seraient alloués, de prime abord, à des sites de production stratégiques, comme ceux de l’Illinois et du Michigan.
Cela aurait pour conséquences des réouvertures d’usines, des embauches ciblées et même le lancement de nouveaux modèles.
Parmi les scénarios envisagés, la création d’un nouveau muscle car, sous le label Dodge, qui constitue une référence assumée aux racines américaines de la marque. Dans une perspective de plus long terme, une relance de Chrysler, longtemps mise de côté, serait également à l’étude.
Bien que rien ne soit encore acté à ce jour, cet investissement illustre l’intention du nouveau PDG, Antonio Filosa, de réaligner la stratégie du groupe.
Ce dernier, nommé à la tête de Stellantis en mai de cette année, se distingue clairement du cap défini par Carlos Tavares avant lui, qui avait concentré les investissements dans des zones à faible coût comme le Mexique, tout en mettant l’accent sur le marché européen, malgré sa faible rentabilité.
