Dans le silence feutré des grandes annonces diplomatiques, un geste peut parfois valoir manifeste. Lorsque la République du Kenya a exprimé son soutien clair et assumé à l’Initiative marocaine d’autonomie pour le Sahara, ce n’est pas seulement une position bilatérale qui a été énoncée — c’est une ligne de fracture stratégique qui s’est redessinée sur la carte des équilibres africains.
Car ce que Nairobi vient d’affirmer, c’est que l’Afrique n’est plus condamnée à l’ambiguïté ou à l’héritage des postures idéologiques d’un autre âge. En appuyant sans détour la proposition marocaine comme « la seule solution réaliste et durable » au différend du Sahara, le Kenya acte un tournant : celui d’un continent qui, progressivement, choisit la responsabilité sur la rhétorique, la stabilité sur l’agitation, le droit effectif sur l’illusion révolutionnaire.
Ce geste ne vient pas de nulle part. Il s’inscrit dans une dynamique plus large, patiemment construite par la diplomatie marocaine sous l’impulsion de Sa Majesté le Roi Mohammed VI. Une diplomatie discrète mais déterminée, qui a su tisser, avec constance et respect, un nouveau pacte de confiance avec de nombreux États africains. Loin des slogans, le Maroc propose une solution ancrée dans le réel, adossée aux résolutions du Conseil de sécurité des Nations Unies, notamment la résolution 2756 (2024), et fondée sur une autonomie substantielle dans le cadre de la souveraineté nationale.
Le choix kenyan vient ainsi s’ajouter à une série de soutiens croissants, venant de pays africains qui ne veulent plus être otages de logiques de division instrumentalisées par des intérêts extra-africains. Ce soutien affirme aussi une vérité que certains feignent d’ignorer : l’option séparatiste s’essouffle, son socle politique se délite, et les voix qui la portent se marginalisent, même sur le continent africain où elles trouvaient jadis leur principal écho.
Le cas du Kenya est d’autant plus significatif qu’il représente une puissance régionale, dotée d’une tradition diplomatique active, influente au sein de l’Union africaine et respectée sur la scène internationale. Son positionnement en faveur du plan d’autonomie marocain envoie donc un signal fort : celui d’une Afrique consciente des enjeux de sécurité, de développement et d’unité, qui refuse de rester spectatrice d’un conflit artificiel alimenté de l’extérieur.
En filigrane, c’est aussi un message à l’adresse de la communauté internationale. Alors que les grandes puissances multiplient les marques de soutien au plan marocain — de Washington à Madrid, de Berlin à La Haye — l’Afrique, elle aussi, affirme sa voix. Une voix lucide, ancrée dans les réalités géopolitiques du continent, et tournée vers l’avenir.
Le temps des chimères est révolu. Ce que le Kenya vient de dire, en substance, c’est que le réalisme est désormais africain. Et que le Sahara marocain, loin d’être un sujet de division, peut devenir un vecteur de convergence, de coopération et de paix durable pour l’ensemble du continent.
Ce geste ne vient pas de nulle part. Il s’inscrit dans une dynamique plus large, patiemment construite par la diplomatie marocaine sous l’impulsion de Sa Majesté le Roi Mohammed VI. Une diplomatie discrète mais déterminée, qui a su tisser, avec constance et respect, un nouveau pacte de confiance avec de nombreux États africains. Loin des slogans, le Maroc propose une solution ancrée dans le réel, adossée aux résolutions du Conseil de sécurité des Nations Unies, notamment la résolution 2756 (2024), et fondée sur une autonomie substantielle dans le cadre de la souveraineté nationale.
Le choix kenyan vient ainsi s’ajouter à une série de soutiens croissants, venant de pays africains qui ne veulent plus être otages de logiques de division instrumentalisées par des intérêts extra-africains. Ce soutien affirme aussi une vérité que certains feignent d’ignorer : l’option séparatiste s’essouffle, son socle politique se délite, et les voix qui la portent se marginalisent, même sur le continent africain où elles trouvaient jadis leur principal écho.
Le cas du Kenya est d’autant plus significatif qu’il représente une puissance régionale, dotée d’une tradition diplomatique active, influente au sein de l’Union africaine et respectée sur la scène internationale. Son positionnement en faveur du plan d’autonomie marocain envoie donc un signal fort : celui d’une Afrique consciente des enjeux de sécurité, de développement et d’unité, qui refuse de rester spectatrice d’un conflit artificiel alimenté de l’extérieur.
En filigrane, c’est aussi un message à l’adresse de la communauté internationale. Alors que les grandes puissances multiplient les marques de soutien au plan marocain — de Washington à Madrid, de Berlin à La Haye — l’Afrique, elle aussi, affirme sa voix. Une voix lucide, ancrée dans les réalités géopolitiques du continent, et tournée vers l’avenir.
Le temps des chimères est révolu. Ce que le Kenya vient de dire, en substance, c’est que le réalisme est désormais africain. Et que le Sahara marocain, loin d’être un sujet de division, peut devenir un vecteur de convergence, de coopération et de paix durable pour l’ensemble du continent.