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Le pays qui compte le plus grand nombre d’inscriptions est le Maroc, avec 19.361 inscriptions en 2018-2019 et 19.478 en 2023-2024.
Le nombre d’étudiants en espagnol comme langue étrangère a augmenté de près de 11% depuis 2018, dépassant les 24 millions d’étudiants dans le monde entier. Le Maroc compte le plus d’apprentis.
Selon l’estimation incluse dans le rapport « L’espagnol dans le monde » (Annuaire Instituto Cervantes 2024), on dénombre 24.208.813 étudiants qui apprennent l’espagnol comme langue étrangère dans le monde à différents niveaux d’enseignement, que ce soit dans l’enseignement primaire, secondaire et universitaire ou dans des espaces d’enseignement non réglementés, tels que des académies ou des centres de langues, ainsi que dans les différents sièges de l’Instituto Cervantes.
En ce qui concerne les chiffres que cette institution publique a collectés depuis 2018, le pays qui compte le plus grand nombre d’inscriptions est le Maroc, avec 19.361 inscriptions en 2018-2019 et 19.478 en 2023-2024 (0,6%), parvenant à « récupérer les chiffres d’avant la pandémie bien qu’il soit la zone où le nombre d’inscriptions a le plus chuté pendant la crise sanitaire, avec la Chine ». C’est ce qui ressort d’une réponse écrite du Gouvernement à la demande du Parti Populaire (PP) de savoir quel pays a connu la plus grande augmentation en pourcentage du nombre d’apprenants d’espagnol à l’ Institut Cervantes depuis 2018.
Selon les informations fournies par le ministère de la Culture, publiées le 24 février au Bulletin officiel, la pandémie de Covid-19 a eu un « impact très significatif » sur les centres de l’Instituto Cervantes, tant au cours de l’année universitaire 2019-2020 que de l’année universitaire 2020-2021. Et, conformément aux directives sanitaires et gouvernementales de chaque pays où se trouve son siège, « la crise sanitaire a forcé la fermeture de nombreux centres et la suspension des cours en présentiel ».
L’Exécutif espagnol souligne toutefois que les inscriptions reprennent progressivement, « mais pas de manière homogène ». Au-delà de la reprise enregistrée au Maroc, pays qui compte le plus grand nombre d’immatriculations, la réponse indique qu’« il y a des pays qui ont dépassé les chiffres d’avant la pandémie ».
C’est le cas de la Hongrie, qui est passée de 1.641 inscriptions en 2018-2019 à 2.964 en 2023-2024, ce qui représente une croissance de plus de 80 %. La même chose s’est produite dans d’autres pays d’Europe centrale comme la Serbie (avec une augmentation de 47%), la Bulgarie (avec une croissance de 22%) ou la République tchèque (avec une augmentation de 18,72%). L’Egypte, pour sa part, est passée de 3.498 inscriptions en 2018-2018 à 5.266, soit une croissance de plus de 50%.
Selon l’estimation incluse dans le rapport « L’espagnol dans le monde » (Annuaire Instituto Cervantes 2024), on dénombre 24.208.813 étudiants qui apprennent l’espagnol comme langue étrangère dans le monde à différents niveaux d’enseignement, que ce soit dans l’enseignement primaire, secondaire et universitaire ou dans des espaces d’enseignement non réglementés, tels que des académies ou des centres de langues, ainsi que dans les différents sièges de l’Instituto Cervantes.
En ce qui concerne les chiffres que cette institution publique a collectés depuis 2018, le pays qui compte le plus grand nombre d’inscriptions est le Maroc, avec 19.361 inscriptions en 2018-2019 et 19.478 en 2023-2024 (0,6%), parvenant à « récupérer les chiffres d’avant la pandémie bien qu’il soit la zone où le nombre d’inscriptions a le plus chuté pendant la crise sanitaire, avec la Chine ». C’est ce qui ressort d’une réponse écrite du Gouvernement à la demande du Parti Populaire (PP) de savoir quel pays a connu la plus grande augmentation en pourcentage du nombre d’apprenants d’espagnol à l’ Institut Cervantes depuis 2018.
Selon les informations fournies par le ministère de la Culture, publiées le 24 février au Bulletin officiel, la pandémie de Covid-19 a eu un « impact très significatif » sur les centres de l’Instituto Cervantes, tant au cours de l’année universitaire 2019-2020 que de l’année universitaire 2020-2021. Et, conformément aux directives sanitaires et gouvernementales de chaque pays où se trouve son siège, « la crise sanitaire a forcé la fermeture de nombreux centres et la suspension des cours en présentiel ».
L’Exécutif espagnol souligne toutefois que les inscriptions reprennent progressivement, « mais pas de manière homogène ». Au-delà de la reprise enregistrée au Maroc, pays qui compte le plus grand nombre d’immatriculations, la réponse indique qu’« il y a des pays qui ont dépassé les chiffres d’avant la pandémie ».
C’est le cas de la Hongrie, qui est passée de 1.641 inscriptions en 2018-2019 à 2.964 en 2023-2024, ce qui représente une croissance de plus de 80 %. La même chose s’est produite dans d’autres pays d’Europe centrale comme la Serbie (avec une augmentation de 47%), la Bulgarie (avec une croissance de 22%) ou la République tchèque (avec une augmentation de 18,72%). L’Egypte, pour sa part, est passée de 3.498 inscriptions en 2018-2018 à 5.266, soit une croissance de plus de 50%.
