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Après avoir marqué les esprits au Festival international du film de Marrakech et bénéficié d’une sortie nationale au Maroc en décembre 2024, Everybody Loves Touda, le dernier long-métrage du réalisateur Nabil Ayouch, amorce une nouvelle étape dans sa carrière internationale. Le film s’apprête à être projeté dans les salles de cinéma en Arabie saoudite, un marché émergent pour le 7e art dans le monde arabe.
La première saoudienne du film est prévue le 7 mai 2025 dans l’enceinte du Reel Cinema à Riyad, en présence de l’actrice principale, Nisrin Erradi, qui incarne avec intensité le rôle de Touda. La sortie officielle en salle interviendra dès le lendemain, 8 mai, marquant ainsi l’entrée du film dans le circuit commercial du Royaume. Sa distribution dans le territoire saoudien est assurée par la société marocaine Concept Mena.
Everybody Loves Touda retrace le parcours de Touda, une cheikha — chanteuse issue du répertoire populaire traditionnel — qui rêve de quitter sa condition marginalisée pour refaire sa vie à Casablanca. À travers ce personnage, Nabil Ayouch explore la complexité des trajectoires féminines, entre stigmates sociaux et désirs d’émancipation. Fidèle à la veine réaliste qui caractérise l’œuvre du cinéaste (Ali Zaoua, prince de la rue, Les Chevaux de Dieu), le film articule habilement drame personnel et sociale, en questionnant les représentations du corps, de la voix et de la dignité dans l’espace public.
Le film a également été sélectionné pour représenter le Maroc à la 97e cérémonie des Oscars, dans la catégorie du Meilleur film international, bien qu’il n’ait pas été retenu dans la shortlist finale.
Everybody Loves Touda retrace le parcours de Touda, une cheikha — chanteuse issue du répertoire populaire traditionnel — qui rêve de quitter sa condition marginalisée pour refaire sa vie à Casablanca. À travers ce personnage, Nabil Ayouch explore la complexité des trajectoires féminines, entre stigmates sociaux et désirs d’émancipation. Fidèle à la veine réaliste qui caractérise l’œuvre du cinéaste (Ali Zaoua, prince de la rue, Les Chevaux de Dieu), le film articule habilement drame personnel et sociale, en questionnant les représentations du corps, de la voix et de la dignité dans l’espace public.
Le film a également été sélectionné pour représenter le Maroc à la 97e cérémonie des Oscars, dans la catégorie du Meilleur film international, bien qu’il n’ait pas été retenu dans la shortlist finale.
