Le fournisseur d’énergie français Gedia, basé à Dreux, ambitionne de se positionner sur le marché marocain des énergies renouvelables. Depuis l’automne 2024, des discussions sont en cours avec le gouvernement marocain afin d’accompagner le Royaume dans l’atteinte de ses objectifs énergétiques ambitieux.
Le Maroc s’est fixé l’objectif de porter à 52 % la part des énergies renouvelables dans son mix électrique d’ici 2030. Pour y parvenir, le Royaume a consacré un million d’hectares à la production d’énergies vertes et attire des investisseurs majeurs. Actuellement, les groupes français Engie et TotalEnergies figurent parmi les principaux acteurs engagés dans le développement de ces infrastructures. Gedia entend s’inscrire dans cette dynamique et rejoindre ces géants du secteur.
Le cadre incitatif mis en place par le Maroc constitue un atout de taille pour les entreprises étrangères. Un fonds d’aide financière permet aux industriels engagés dans des projets de dépollution et d’efficacité énergétique de bénéficier de subventions, pouvant couvrir entre 10 et 30 % du coût des projets. Cette opportunité suscite l’intérêt de Gedia, comme l’a confirmé Pierre-Frédéric Billet, maire de Dreux, cité par France Info.
Les échanges entre Gedia et le gouvernement marocain ont été initiés lors d’un colloque au Sénat français en 2024, en présence de l’ambassadrice du Maroc, Samira Sitaïl. Depuis, plusieurs rencontres ont eu lieu, dont une mission au Maroc en février dernier, durant laquelle le maire de Dreux et le directeur général de Gedia ont rencontré des responsables marocains, notamment le directeur général du ministère des Investissements.
À ce stade, le projet demeure en phase exploratoire. Les modalités précises de l’implantation de Gedia restent à définir. L’entreprise envisage notamment le développement d’un parc photovoltaïque ou éolien, en fonction des opportunités offertes par le marché marocain. Une implantation dans la région de Dakhla est également à l’étude, tandis qu’une collaboration plus poussée avec le gouvernement marocain, incluant la création d’une entité locale sur le modèle de Gedia, est évoquée.
Le cadre incitatif mis en place par le Maroc constitue un atout de taille pour les entreprises étrangères. Un fonds d’aide financière permet aux industriels engagés dans des projets de dépollution et d’efficacité énergétique de bénéficier de subventions, pouvant couvrir entre 10 et 30 % du coût des projets. Cette opportunité suscite l’intérêt de Gedia, comme l’a confirmé Pierre-Frédéric Billet, maire de Dreux, cité par France Info.
Les échanges entre Gedia et le gouvernement marocain ont été initiés lors d’un colloque au Sénat français en 2024, en présence de l’ambassadrice du Maroc, Samira Sitaïl. Depuis, plusieurs rencontres ont eu lieu, dont une mission au Maroc en février dernier, durant laquelle le maire de Dreux et le directeur général de Gedia ont rencontré des responsables marocains, notamment le directeur général du ministère des Investissements.
À ce stade, le projet demeure en phase exploratoire. Les modalités précises de l’implantation de Gedia restent à définir. L’entreprise envisage notamment le développement d’un parc photovoltaïque ou éolien, en fonction des opportunités offertes par le marché marocain. Une implantation dans la région de Dakhla est également à l’étude, tandis qu’une collaboration plus poussée avec le gouvernement marocain, incluant la création d’une entité locale sur le modèle de Gedia, est évoquée.