Annonces Légales et Bulletin Officiel Journal d'annonces légales et publicateur au bulletin officiel
Covec, géant chinois du BTP, décroche un contrat clé de 1,3 milliard de dirhams pour moderniser la ligne Kénitra-Marrakech, propulsant le projet de la LGV vers une nouvelle phase.
Le mégaprojet de la Ligne à Grande Vitesse (LGV) reliant Kénitra à Marrakech franchit une étape décisive avec l’attribution d’un nouveau contrat au groupe chinois China Overseas Engineering Corporation (Covec). D’une valeur de 1,34 milliard de dirhams, ce marché vise à moderniser la ligne ferroviaire classique en exploitation à Casablanca, renforçant ainsi le rôle des entreprises chinoises dans cette infrastructure majeure du transport marocain.
L’Office national des chemins de fer (ONCF) a révélé, ce jeudi 14 novembre, que le groupe chinois Covec a été sélectionné pour le dixième lot des travaux de la LGV, incluant des opérations de terrassement, des ouvrages d’art, ainsi que la réhabilitation des communications et clôtures le long de la ligne classique actuelle. Ce contrat, estimé initialement à 1,44 milliard de dirhams, a été remporté grâce à une offre compétitive de 1,34 milliard de dirhams, surpassant celle du groupement français NGE Contracting/Guintoli, dont la proposition s’élevait à 1,72 milliard de dirhams.
Covec s’inscrit ainsi dans un ensemble de quatre entreprises chinoises désignées pour mener les travaux de génie civil de la LGV Kénitra-Marrakech, aux côtés de CRCC 20 (2,83 MMDH), China Railway No.04 Engineering (3,4 MMDH) et Shandong Hi-Speed Engineering-Construction (4,5 MMDH). En parallèle, plusieurs lots ont été confiés à des entreprises locales, telles que GTR, filiale de Colas, ainsi qu’à TGCC, Jet Contractors et Mojazine, valorisant la collaboration entre acteurs nationaux et internationaux.
Le projet de la LGV inclut non seulement la construction de la ligne en site propre reliant directement Kénitra à Marrakech, mais également le raccordement aux lignes existantes, la modernisation des gares, et la mise en place d’infrastructures de maintenance. Ce vaste réseau permettra d’améliorer l’efficacité du transport ferroviaire tout en stimulant l’économie locale, à travers l’extension de la capacité de transport et le développement d’infrastructures modernes.
En outre, deux derniers lots concernant les viaducs, dont celui traversant l’Oued Bouregreg, sont en cours d’attribution, clôturant ainsi le cycle des travaux préliminaires et préparant le terrain pour l’achèvement de cette infrastructure de pointe.
L’Office national des chemins de fer (ONCF) a révélé, ce jeudi 14 novembre, que le groupe chinois Covec a été sélectionné pour le dixième lot des travaux de la LGV, incluant des opérations de terrassement, des ouvrages d’art, ainsi que la réhabilitation des communications et clôtures le long de la ligne classique actuelle. Ce contrat, estimé initialement à 1,44 milliard de dirhams, a été remporté grâce à une offre compétitive de 1,34 milliard de dirhams, surpassant celle du groupement français NGE Contracting/Guintoli, dont la proposition s’élevait à 1,72 milliard de dirhams.
Covec s’inscrit ainsi dans un ensemble de quatre entreprises chinoises désignées pour mener les travaux de génie civil de la LGV Kénitra-Marrakech, aux côtés de CRCC 20 (2,83 MMDH), China Railway No.04 Engineering (3,4 MMDH) et Shandong Hi-Speed Engineering-Construction (4,5 MMDH). En parallèle, plusieurs lots ont été confiés à des entreprises locales, telles que GTR, filiale de Colas, ainsi qu’à TGCC, Jet Contractors et Mojazine, valorisant la collaboration entre acteurs nationaux et internationaux.
Le projet de la LGV inclut non seulement la construction de la ligne en site propre reliant directement Kénitra à Marrakech, mais également le raccordement aux lignes existantes, la modernisation des gares, et la mise en place d’infrastructures de maintenance. Ce vaste réseau permettra d’améliorer l’efficacité du transport ferroviaire tout en stimulant l’économie locale, à travers l’extension de la capacité de transport et le développement d’infrastructures modernes.
En outre, deux derniers lots concernant les viaducs, dont celui traversant l’Oued Bouregreg, sont en cours d’attribution, clôturant ainsi le cycle des travaux préliminaires et préparant le terrain pour l’achèvement de cette infrastructure de pointe.
