L’arrestation, le 10 août dernier, d’un jeune homme de 18 ans à Douar El Amarna, près de Settat, illustre la réémergence de nouvelles formes de menace terroriste au Maroc. Contrairement aux cellules structurées et hiérarchisées que nos services de sécurité démantèlent régulièrement, ce danger insidieux prend désormais le visage des “loups solitaires”, imprévisibles et difficiles à neutraliser. Derrière cette dérive idéologique se cache souvent une fragilité psychique : certains profils souffrent de troubles psychiatriques sévères, tels que la schizophrénie, avec délires et hallucinations pouvant se transformer en pulsions violentes. Ce cocktail explosif, où vulnérabilité mentale et embrigadement extrémiste s’entremêlent, rend la menace d’autant plus redoutable. Comment le Maroc y fait-il face ? Éclairage.
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