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Un programme d’éducation artistique novateur, initié par la Fondation Ali Zaoua en partenariat avec le ministère de l’Éducation nationale, entre dans sa phase régionale avec la participation de 141 équipes finalistes issues de tout le Royaume.
Selon un communiqué de presse de la Fondation Ali Zaoua, les compétitions régionales du projet « Madrastna » battent actuellement leur plein dans les douze régions du Maroc. Ce programme éducatif d’envergure, lancé en partenariat avec le ministère de l’Éducation nationale, ambitionne de placer la culture et l’expression artistique au cœur du parcours scolaire dans les collèges publics. Depuis le 19 avril et jusqu’au 13 mai, plus de 140 équipes d’élèves se disputent les premières places dans deux disciplines phares : le cinéma scolaire et l’improvisation théâtrale.
En chiffres, ce sont plus de 300 établissements scolaires, répartis dans l’ensemble des régions du Royaume, qui ont participé à la phase locale du programme. À l’issue de cette première sélection, 73 équipes d’improvisation théâtrale et 68 équipes de cinéma ont été qualifiées pour représenter leur province lors des compétitions régionales.
Chacune de ces compétitions est encadrée par un jury mixte, garantissant l’objectivité et la qualité de l’évaluation. Il est composé de deux binômes représentant la Fondation Ali Zaoua – un membre de la Fondation et un professionnel du domaine artistique concerné – ainsi que de représentants des Académies Régionales d’Éducation et de Formation (AREF) ou des directions provinciales du ministère.
Conçu pour encourager la créativité, l’expression personnelle et l’engagement citoyen, le projet Madrastna s’articule autour de deux modules complémentaires : « Cinéma en classe » et « Improvisation théâtrale ». Le premier module initie les élèves à la lecture d’image, à l’écriture scénaristique et à la réalisation de courts-métrages. Ce travail s’appuie sur des projections de films marocains et internationaux, suivies de discussions critiques. Les collégiens sont ensuite invités à produire leurs propres œuvres audiovisuelles, nourries par leurs vécus et leur environnement social.
Le second module, dédié à l’improvisation, s’inspire du modèle de la Ligue Nationale d’Improvisation Théâtrale Nojoum. Il permet aux participants de développer des compétences orales, une réactivité scénique et une aptitude au travail en équipe, dans un cadre ludique mais structuré.
« Le programme a permis à des milliers d’élèves, dans toutes les régions du Royaume, de découvrir de nouvelles formes d’expression, de renforcer leur confiance en eux et de réfléchir à des thématiques citoyennes, sociales et culturelles », souligne Sophia Akhmisse, directrice de la Fondation Ali Zaoua, citée dans le communiqué. Elle insiste sur le rôle transformateur que peuvent jouer les arts dans le développement personnel et éducatif des jeunes.
En marge des compétitions, les régions hôtes organisent également des rencontres, ateliers et débats avec des artistes et professionnels de la culture, permettant ainsi une immersion encore plus profonde dans le monde de la création artistique.
Les finalistes issus de ces compétitions régionales seront réunis à Casablanca à la fin du mois de mai pour les grandes finales nationales, qui couronneront les meilleures productions cinématographiques et prestations scéniques.
En chiffres, ce sont plus de 300 établissements scolaires, répartis dans l’ensemble des régions du Royaume, qui ont participé à la phase locale du programme. À l’issue de cette première sélection, 73 équipes d’improvisation théâtrale et 68 équipes de cinéma ont été qualifiées pour représenter leur province lors des compétitions régionales.
Chacune de ces compétitions est encadrée par un jury mixte, garantissant l’objectivité et la qualité de l’évaluation. Il est composé de deux binômes représentant la Fondation Ali Zaoua – un membre de la Fondation et un professionnel du domaine artistique concerné – ainsi que de représentants des Académies Régionales d’Éducation et de Formation (AREF) ou des directions provinciales du ministère.
Conçu pour encourager la créativité, l’expression personnelle et l’engagement citoyen, le projet Madrastna s’articule autour de deux modules complémentaires : « Cinéma en classe » et « Improvisation théâtrale ». Le premier module initie les élèves à la lecture d’image, à l’écriture scénaristique et à la réalisation de courts-métrages. Ce travail s’appuie sur des projections de films marocains et internationaux, suivies de discussions critiques. Les collégiens sont ensuite invités à produire leurs propres œuvres audiovisuelles, nourries par leurs vécus et leur environnement social.
Le second module, dédié à l’improvisation, s’inspire du modèle de la Ligue Nationale d’Improvisation Théâtrale Nojoum. Il permet aux participants de développer des compétences orales, une réactivité scénique et une aptitude au travail en équipe, dans un cadre ludique mais structuré.
« Le programme a permis à des milliers d’élèves, dans toutes les régions du Royaume, de découvrir de nouvelles formes d’expression, de renforcer leur confiance en eux et de réfléchir à des thématiques citoyennes, sociales et culturelles », souligne Sophia Akhmisse, directrice de la Fondation Ali Zaoua, citée dans le communiqué. Elle insiste sur le rôle transformateur que peuvent jouer les arts dans le développement personnel et éducatif des jeunes.
En marge des compétitions, les régions hôtes organisent également des rencontres, ateliers et débats avec des artistes et professionnels de la culture, permettant ainsi une immersion encore plus profonde dans le monde de la création artistique.
Les finalistes issus de ces compétitions régionales seront réunis à Casablanca à la fin du mois de mai pour les grandes finales nationales, qui couronneront les meilleures productions cinématographiques et prestations scéniques.
