Face à un avenir incertain, marqué par des conditions de travail de plus en plus difficiles pour les éleveurs et une dégradation de la qualité de l’alimentation animale, les autorités marocaines se tournent vers des solutions étrangères, notamment l’importation de lait frais pasteurisé d’Écosse.
En plus d’être pénalisant pour les réserves nationales en devises, ce choix de l’importation pourrait-il vraiment répondre aux besoins croissants du marché, tout en préservant la compétitivité et la souveraineté alimentaire du pays ?