Les plaignants accusent l’instance internationale d’abus de position dominante dans l’imposition du calendrier international, notamment en lien avec la Coupe du Monde des Clubs 2025.
Ils reprochent à la FIFA d’imposer unilatéralement ses décisions sans concertation, au détriment de la santé des joueurs et de la viabilité des compétitions nationales, tout en dénonçant un conflit d’intérêts : la FIFA serait à la fois régulatrice et organisatrice de compétitions.
S’appuyant sur la jurisprudence européenne (affaires Super League et Diarra), FIFPRO Europe, European Leagues et La Liga réclament, dans leur requête, davantage de transparence, d’équité et d’inclusion des parties prenantes.