Cinq ans plus tard, malgré une surpopulation chronique et des ressources limitées, l’administration pénitentiaire semble avoir inversé la tendance, faisant reculer le nombre d’infractions commises par les détenus. Renforcement de la surveillance, gestion spécifique des profils à risque, dispositifs électroniques anti-intrusion, campagnes de sensibilisation… Les efforts portent leurs fruits. Mais suffisent-ils à garantir une sécurité durable derrière les murs des prisons ? Décryptage.