Stellantis voit son organigramme évoluer en France. Du changement est annoncé par la marque au niveau de la direction de Citroën, mais aussi à la tête d’Opel et Stellantis Pro One, dédié aux Véhicules Utilitaires Légers (VUL). Serait-ce un moyen de se relancer suite à des résultats en berne ?
Ainsi, au top management de Citroën, Sébastien Caron, Directeur Général de Citroën France, cède sa place au profit d’Edouard George, qui le remplace. Ce dernier occupait jusqu’alors le poste de directeur de la demande et de la performance commerciale au sein de la Supply Chain de Stellantis Europe.
C’est d’ailleurs ce même Sébastien Caron qui récupère la direction générale de Stellantis Pro One France, une nouvelle division dédiée aux VUL. Il prend de facto la place de Rubina Rovere qui, selon le groupe, devrait occuper bientôt des « fonctions internationales ».
Chez Opel, un quatrième directeur a été nommé en cinq ans seulement. En effet, dans ce jeu de chaises musicales, Charles Peugeot récupère le poste de Vincent Rolinet, lequel prendra des fonctions au niveau européen aux côtés de Jean-Philippe Imparato, ancien dirigeant de Peugeot et d’Alfa Romeo et actuel président de Stellantis Europe.
Après une année 2023 de tous les records, le constructeur a vu son bénéfice net baisser de 70% en 2024, mais espère tout de même un rebond au deuxième semestre 2025.
Avec les problèmes liés aux airbags Takata de la Citroën C3 et de la DS3, mais aussi ceux liés aux moteurs 1.2 PureTech, il reste encore du pain sur la planche à Stellantis pour remonter la pente.
Ainsi, au top management de Citroën, Sébastien Caron, Directeur Général de Citroën France, cède sa place au profit d’Edouard George, qui le remplace. Ce dernier occupait jusqu’alors le poste de directeur de la demande et de la performance commerciale au sein de la Supply Chain de Stellantis Europe.
C’est d’ailleurs ce même Sébastien Caron qui récupère la direction générale de Stellantis Pro One France, une nouvelle division dédiée aux VUL. Il prend de facto la place de Rubina Rovere qui, selon le groupe, devrait occuper bientôt des « fonctions internationales ».
Chez Opel, un quatrième directeur a été nommé en cinq ans seulement. En effet, dans ce jeu de chaises musicales, Charles Peugeot récupère le poste de Vincent Rolinet, lequel prendra des fonctions au niveau européen aux côtés de Jean-Philippe Imparato, ancien dirigeant de Peugeot et d’Alfa Romeo et actuel président de Stellantis Europe.
Après une année 2023 de tous les records, le constructeur a vu son bénéfice net baisser de 70% en 2024, mais espère tout de même un rebond au deuxième semestre 2025.
Avec les problèmes liés aux airbags Takata de la Citroën C3 et de la DS3, mais aussi ceux liés aux moteurs 1.2 PureTech, il reste encore du pain sur la planche à Stellantis pour remonter la pente.