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La production de la prochaine génération du modèle électrique compact Citroën ë-C4, prévue pour 2027, sera délocalisée au Maroc, à l’usine Stellantis de Kénitra. Selon la presse ibérique, cette décision vise à réduire les coûts de fabrication. Le modèle est actuellement produit à l’usine de Villaverde, à Madrid.
Le repositionnement de la ë-C4 comme un modèle abordable destiné à concurrencer les marques low-cost, telles que Dacia, a été la motivation essentielle pour Stellantis de miser sur le site de Kénitra, où les coûts de fabrication sont bien plus faibles que ceux de l’Espagne, lit-on.
Avec l’arrivée de la Citroën ë-C4 et du Fiat Multipla dans ses chaînes d’assemblage, en plus de la Peugeot 208, de la Citroën Ami et de ses déclinaisons Fiat Topolino et Opel Rocks-e déjà produites sur le site, Stellantis prévoit d’augmenter sa capacité de production annuelle pour atteindre 450 000 véhicules d’ici 2028.
Cette délocalisation marque un tournant dans l’industrie automobile marocaine, elle renforce la position du pays en tant que hub stratégique pour la production de véhicules thermiques comme électriques. Grâce à des infrastructures modernes et à des coûts de main-d’œuvre attractifs, le Maroc s’impose progressivement comme un acteur incontournable du secteur automobile mondial.
Pour Stellantis, ce repositionnement vise aussi à répondre à la forte demande en véhicules électriques abordables, dans un contexte de transition énergétique et de réglementation stricte sur les émissions de CO₂. La Citroën ë-C4 pourrait s’imposer comme un modèle phare, pour les marchés européens ainsi que pour les pays qui émergent, où le rapport qualité-prix reste un critère déterminant dans l’acte d’achat.
Le repositionnement de la ë-C4 comme un modèle abordable destiné à concurrencer les marques low-cost, telles que Dacia, a été la motivation essentielle pour Stellantis de miser sur le site de Kénitra, où les coûts de fabrication sont bien plus faibles que ceux de l’Espagne, lit-on.
Avec l’arrivée de la Citroën ë-C4 et du Fiat Multipla dans ses chaînes d’assemblage, en plus de la Peugeot 208, de la Citroën Ami et de ses déclinaisons Fiat Topolino et Opel Rocks-e déjà produites sur le site, Stellantis prévoit d’augmenter sa capacité de production annuelle pour atteindre 450 000 véhicules d’ici 2028.
Cette délocalisation marque un tournant dans l’industrie automobile marocaine, elle renforce la position du pays en tant que hub stratégique pour la production de véhicules thermiques comme électriques. Grâce à des infrastructures modernes et à des coûts de main-d’œuvre attractifs, le Maroc s’impose progressivement comme un acteur incontournable du secteur automobile mondial.
Pour Stellantis, ce repositionnement vise aussi à répondre à la forte demande en véhicules électriques abordables, dans un contexte de transition énergétique et de réglementation stricte sur les émissions de CO₂. La Citroën ë-C4 pourrait s’imposer comme un modèle phare, pour les marchés européens ainsi que pour les pays qui émergent, où le rapport qualité-prix reste un critère déterminant dans l’acte d’achat.
