La nomination d’un nouveau président en Syrie a ravivé l’espoir quant au rapatriement des centaines d’ex-combattants et de leurs familles détenus par des groupes terroristes. Selon les estimations, ils seraient 591 individus – dont des femmes et des enfants – à subir des conditions inhumaines, au risque d’alimenter le ressentiment et la radicalisation au sein des familles. Un phénomène qui demeure préoccupant alors que le Maroc s’efforce de lutter contre le terrorisme.
Pour y faire face, le Centre Nordique pour la Transformation des Conflits (NCCT) a appelé à l’adoption d’une politique de rapatriement claire, axée d’abord sur la déradicalisation des personnes concernées à travers des programmes dédiés, puis sur leur réintégration socioprofessionnelle, afin d’en faire des vecteurs de la lutte contre le terrorisme.
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