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Confronté à une forte baisse des ventes, le groupe Stellantis, quatrième constructeur mondial, a annoncé la semaine dernière un nouvel arrêt de ses usines italiennes pour le mois de novembre afin de réguler la production.
Carlos Tavares, patron du groupe qui quittera son poste en janvier 2026, a expliqué que ces usines allaient être mises à l’arrêt pendant plusieurs jours pour ne pas produire plus que ce qui pourrait être vendu. Qui plus est, le Lisboète estime que des fermetures « ne sont pas à exclure » face à l’arrivée des constructeurs chinois qui rachètent ou construisent des usines en Europe pour contourner les taxes.
Les salariés du groupe du pays transalpin n’ont bien sûr pas très bien accueilli la nouvelle. Selon les syndicats, ils étaient 20 000 manifestants à Rome vendredi 18 octobre pour manifester contre le désengagement de Stellantis, dont la production en Italie a baissé de 31,7% cette année, chiffre historiquement le plus bas depuis 1956.
Parallèlement, au Maroc, le groupe franco-américano-italien prévoit d’augmenter sa vitesse de production. En effet, Stellantis va agrandir son usine de Kénitra, un peu plus de quatre ans seulement après son inauguration.
Le site industriel marocain devrait ainsi voir sa capacité plus que doubler, passant de 200 000 à 450 000 véhicules par an, moyennant un investissement de 300 millions d’euros. Les travaux d’extension ont débuté en mars de cette année.
Carlos Tavares, patron du groupe qui quittera son poste en janvier 2026, a expliqué que ces usines allaient être mises à l’arrêt pendant plusieurs jours pour ne pas produire plus que ce qui pourrait être vendu. Qui plus est, le Lisboète estime que des fermetures « ne sont pas à exclure » face à l’arrivée des constructeurs chinois qui rachètent ou construisent des usines en Europe pour contourner les taxes.
Les salariés du groupe du pays transalpin n’ont bien sûr pas très bien accueilli la nouvelle. Selon les syndicats, ils étaient 20 000 manifestants à Rome vendredi 18 octobre pour manifester contre le désengagement de Stellantis, dont la production en Italie a baissé de 31,7% cette année, chiffre historiquement le plus bas depuis 1956.
Parallèlement, au Maroc, le groupe franco-américano-italien prévoit d’augmenter sa vitesse de production. En effet, Stellantis va agrandir son usine de Kénitra, un peu plus de quatre ans seulement après son inauguration.
Le site industriel marocain devrait ainsi voir sa capacité plus que doubler, passant de 200 000 à 450 000 véhicules par an, moyennant un investissement de 300 millions d’euros. Les travaux d’extension ont débuté en mars de cette année.
