Poursuivi par la Cour pénale internationale et acculé politiquement chez lui, le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahu, continue sa fuite en avant en refusant, pour l’instant, de déposer les armes, au mépris des populations civiles et des otages.
Cette situation est insoutenable pour l’opposition israélienne, qui propose désormais un plan de paix avec la participation des pays arabes, dont le Maroc, qui a proposé une feuille de route pour une sortie par le haut du blocage actuel. Le Royaume exige la solution à deux Etats comme horizon indépassable du processus de paix, dont les chances de réussite se heurtent au fanatisme de la coalition au pouvoir en Israël. Décryptage.