Ce nouvel accord s’inscrit dans une dynamique plus large de révision des traités de libre-échange avec certains partenaires jugés «malins», comme la Tunisie et la Turquie, accusés de contourner les règles de la concurrence loyale. Ces différends répétés soulèvent des questions sur la pertinence de certains accords, notamment celui d’Agadir, même si le Maroc reste fermement attaché au libre-échange, convaincu qu’il est essentiel pour renforcer sa compétitivité à l’export.
Une ambition qui reste tributaire du succès de la future feuille de route du commerce extérieur. Décryptage.